C'est en tant que leader
du championnat de France de N1A que nous nous déplacions à
St Germain en Laye, pour un match au sommet contre le second. Les
deux équipes en forme du moment sont les deux équipes
s'étant préparées sérieusement, reprenant
l'entraînement mi-aout. Le match s'annonçait disputé,
comme toujours, mais dont l'enjeu était la première
place provisoire du championnat. Les joueurs étaient très
nerveux durant la première mi-temps, et quelques incidents
furent à noter entre l'attaque de Lyon et la défense
St Germanoise. Le début de match se passa sous la domination
de St Ger, qui se créa les premières occasions dangereuses.
Lyon loupe l'ouverture du score sur petit corner par Douglas Corbel.
La balle n'était pas simple, mais le but était vide...
A
la mi-temps, et vu la première période, le score s'acheminait
vers un 0-0 des familles qui nous convenait parfaitement. Malgré
le niveau physique des deux équipes, la fatigue allait s'installer,
laissant des espaces libres. Au bout d'un quart d'heure de jeu en
seconde période et quelques cartons, Sébastien Jeanjean
offrit à Lyon un pénalty, sur lequel on pourrait pavoiser
beaucoup. En tant que gardien, je me serais aussi offusqué
d'une telle décision, comme Julien Thamin. Mais là n'est
pas la polémique. Laurent Lemerle transforme le pénalty,
ras de terre à droite, en ayant accroché la moquette.
On a eu chaud, mais il est rentré. 1-0 pour le FCL, nous respirons
un grand bol d'air, et vu la sérénité de notre
défense, nous entrapercevons la victoire à l'extérieur.
C'était sans compter sur la volonté de St Ger. Désormais
dominateurs, ils se créèrent quelques occasions dont
plusieurs petits corners. Mais c'est finalement sur action de jeu
qu'ils égalisèrent. Un cafouillis dans la zone, une
balle décalée, et Martin Genestet marque sur un shoot
topé fort déconcertant. Le public présent hurle
sa joie, et exulte littéralement 5 minutes plus tard lorsque
leur équipe marque un petit corner. Push direct de Friquet,
ou bien Romain Branquart, je ne me souviens plus, dévié
par mes soins sur Alexis Collon, qui se dépatouille comme il
peut, Martin Genestet récupère à 2m du poteau
gauche, veut tirer, fait un air shoot magnifique sanctionnable, se
rattrape en passant la balle au centre pour Pilou Verrier qui n'a
plus qu'à claquer la balle dans le but. Il reste 10 minutes
de jeu, nous avons vu la victoire puis le match nul s'envoler. Mais
nous n'avons pas dit notre dernier mot dans cette fin de partie halletante.
Menant des contres rapides, nous nous procurons des occasions. Antoine
Gouedard Comte mystifie la défense adverse. Finalement, nous
obtenons un petit corner, dont Arthur Piaton se charge. Push direct,
et c'est la délivrance de l'égalisation. Les dernières
minutes sont bržlantes, mais nous arrachons finalement un excellent
nul contre une très bonne équipe de St Germain soutenue
par un public nombreux. Place à Lille à la maison. C'est
la première fois que nous paraissons favori. Mais il faudra
nous méfier de cette équipe en pleine reconstruction
qui progresse au fil des matchs.
Pour le site
des espoirs, Henri LHOMME
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Samedi
2 octobre 2004, sur le terrain du Paris Jean Bouin, encouragée
par une foule de supporters venus en masse pour l'évènement,
l'équipe 1ere féminine de l'ex CASG s'apprête
à entamer la rencontre du siècle. Elle rencontre en
effet le CA Montrouge encore invaincu cette saison, tout comme l'est
notre équipe fanion. C'est l'arrivée sur le terrain,
ces demoiselles s'échauffent, sous les ordres de leur capitaine,
Sylvie Derre. L'échauffement est sérieux, on se plonge
ds notre match, et après le fameux cri de guerre, c'est la
partie qui commence. Une très nette pression du Paris Jean
Bouin dès le début de la rencontre, qui se marque par
une domination certaine, et par conséquent des occasions. C'est
ainsi qu'après seulement quelques minutes de jeu, Emilie Bellet,
après avoir driblé quelques adversaires, rentre dans
le cercle et arme son shoot, lucarne gauche. Tout simplement magnifique.
Le Paris Jean Bouin mène donc 1à 0 sur une équipe
qu'il n'avait pu battre l'année dernière. La domination
des "vraies" parisiennes se fait réellement sentir, et les
actions en leur faveur se multiplient, et se concrétisent peu
avant la mi-tps par un but de Popo Giro, que, je dois m'en excuser,
je n'ai pu voir, étant cachée par le coach géant
de cette dream team: Nicolas Boyer. C'est la mi-tps, le Paris Jean
Bouin reprend ses forces, prend conscience de son jeu, et qu'il est
encore possible de mar quer d'autres buts. La reprise et toujours
cette même envie de victoire gravée dans les esprits
des joueuses. Toujours une domination, peut être plus relachée
par moments, et même quelques frayeurs du coté des supporters.
Mais la défense de choc résiste. Le clan July, grande
Jet, sibylle, Sina, et Alexia tient bon, gouverné par la gardienne
tout droit venue des Pays Bas: Nielen. Ainsi, on voit des débordements
parisiens de tous les cotés, et nottament Aude LeClerc, excellente
aujourd'hui qui efface une à une ses adversaires et centre
admirablement pour la Ptite Jet qui marque le 3e but de cette rencontre,
en blessant quelque peu une défenseuse camiste. Les actions
étant nombreuses, et n'étant pas toutes concrétisées,
se terminent en dégagement. Le CAM, peut être enervé
de ce score, s'empresse de dégager la balle. Hélas,
un manque d'application. La balle se lève et Perrine, attaquante
de choc, recoit un shoot surpuissant dans le dos. Elle ne peut cont
inuer, et doit donc sortir. Pour venger Perrine, la balle est conservée
par le PJB, on avance, un "une-deux" se met en place entre Inès
et la Ptite Jet, on rentre dans le cercle, et d'une manière
quelque peu semblable à son premier but, Juliette marque de
nouveau.. Le Paris Jean Bouin mène maintenat au score par 4-0.
C'est incroyable! Cette ivresse, entraine un léger manque de
concentration, mais les camistes, toujours dans le match, sautent
sur l'occasion, et à une minute de la fin, réduction
du score. L'arbitre siffle la fin du match. Le PJB et ses supporters
sont heureux. Leur équipe conforte maintenant un bonne position
dans sa poule. Une telle victoire ne peut se terminer, comme à
son habitude, apr une tournée, et un gouter (quoi, elles sont
pas bonnes mes SMASH !!) La semaine prochaine, notre équipe
fanion se déplace à Rouen, venez nombreux les supporter.
C'était
Juliette Hévin pour les Espoirs
www.casghockey.com
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Contrairement à
ce qu'annonce La Voix du Nord, il ne fut pas question de chance...
Le TAC n'a pas perdu ce match par manque de chance... Peut-être
qu'ils ont manqué certaines occasions de très peu, mais
c'est les Girondins qui ont fait le jeu. Dès les premières
minutes, le pressing girondin était efficace puisque à
la 1ére minute Stéphane Boé s'empare de la balle
et inscrit le premier but... deux minutes plus tard c'est au tour
d'Edouard Meillacq d'en faire autant sur un somptueux but en lucarne
en angle fermé... Le Touquet coule, ils sont débordés.
Dans les tribunes c'est l'euphorie... La première période
sera vraiment girondine, mais les hommes de Stéphane Boé
ont peut-être marqué trop vite... ils s'emballaient,
s'énervaient, et firent progressivement des relances hasardeuses.
Le Touquet en profita pour reprendre confiance, dérouler davantage
le jeu, notamment grâce à Augustin Coisne. Le
TAC créant le jeu, se découvrît, et laissa les
Girondins mener un fabuleux contre que Gaspard Clin se charge de conclure,
3-0... Seulement les esprits s'échauffaient, les arbitres furent
débordés... plusieurs mauvais coups touquettois gâchèrent
la fin de la première période. Les Girondins, pendant
quelques minutes, perdirent le contrôle de la balle, du jeu
même. Le TAC se ressaisit et joua enfin. Dès lors, on
savait que le TAC avait les moyens de revenir dans la partie. Paul
Darvinche perturba plusieurs fois la défense de Nicolas Roche,
décisif, notamment sur un penalty, (...!!). Augustin Coisne
ne parvena pas à tromper le portier bordelais. Juste avant
la pause, le TAC concrétisa ses dernières minutes de
domination par un but de Darvinche. Les dernières minutes témoignèrent
à quel point les Touquettois sont capables de faire mal aux
défenses quand ils jouent.
La seconde période sera une course aux buts... Le jeu devient
moins beaux, mais le match alléchant ! Beaucoup trop de coups
bas terniront le spectacle. Quel dommage ! Le Touquet s'était
enfin réveillé, mais sûrement trop tard, les bordelais
étaient déjà lancés... Toutefois, la victoire
était loin d'être acquise, notamment quand le score était
de 3-2... une série de petits corners aurait du faire l'affaire
des hommes d'Antoine Choteau, mais Nicolas Roche était trop
parfait... C'est à la 61éme minute que la délivrance
arriva pour le camp bordelais, encore une fois Maxime Baqué
fut décisif... à 4-2, on voyait mal comment les Touquettois
pouvaient revenir au score. Les bordelais rassurés, se décontractèrent
pour inscrire le 5éme et dernier but par l'international sud-africain,
toujours aussi impressionnant, John McInroy. Vitesse, percussion,
agilité le caractérise et efficacité le caractérisent.
Une troisième victoire consécutive permet aux Girondins
de prendre la tête du classement provisoire, et d'être
le favori de cette poule, en attendant le match contre Amiens le week-end
prochain.
C'était
C.L pour les Espoirs.
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Après une confortable
victoire la semaine passée face à Orléans,
le SAM se devait de confirmer face à Antibes. Ce fut un match
super ! Beaucoup de plaisir, d'envie, de talent, et surtout d'efficacité.
Une Julie Bergère en forme, percutante, des milieux de terrains,
bien que pas très réveillées, (... va savoir
pourquoi...) très présentes. Antibes nous attendait
dans ses 50... Etonnant... Par conséquent, nous étions
libres de créer du jeu, occuper l'espace. La balle circulait
bien, de beaux mouvements collectifs se firent remarquer. Antibes
n'était pas au top. Malgrè les consignes de Stéphanie
Gomis et Isabelle Soyez, les jeunes antibaises ne parvenaient pas
à se montrer dangereuses. Alors le SAM prit le jeu à
son compte, dès lors Antibes ne pût plus rien faire.
Le SAM prit le temps de construire, et ensuite d'attaquer. C'est
d'abord Julie Bergère qui fit le spectacle, ensuite Judith
Commenges, puis Julie Meillacq à peine rentrée sur
le terrain. A 3-0 Antibes ne pouvait plus refaire son retard. Le
match était plié car le SAM était ultra-présent
au milieu de terrain. Même si au cours de la seconde période,
plusieurs petits corners antibois auraient pu redonner espoir aux
filles de Stéphanie Gomis. Clotilde Larrose, pour son retour,
n'eut donc pas d'efforts à fournir.
Le SAM poursuiva sa chasse aux buts, Adèle Clin et encore
Julie Bergère se firent plaisir.
Le bilan est très positif, mais il faudra confirmer face
au CAM, dimanche prochain, ce qui est loin d'être fait...
C'était
CL pour les Espoirs
www.samerignac.org
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